•                                                       

    ET BEAUCOUP D AUTRES A DECOUVRIR            

     

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  •                                          ANCIENNE CITEE ROMAINE DE SETIF ET  TIMGAD .                        

                                                      

                                                      

                                    

     

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  • logo ARTICLE 473Djemila (Sétif) : Menace sur

    les ruines romaines <script src='http://www.kazeo.com/inclusion/afficher_fichier.php?urlfichier=http://www.youtube.com/v/G9rGBtFNbq0@@@300@@@300'></script>

    Les constructions illicites qui prolifèrent à Djemila endommagent l’esthétique de la cité séculaire qui retrouve sa quiétude d’antan et des visiteurs avides de découvrir les sites des civilisations anciennes.

    Le phénomène qui prend des proportions alarmantes n’est, pour les citoyens qui se sont rapprochés de nos bureaux, pas un banal fait divers. Ces derniers tirent la sonnette d’alarme. Ils accusent ouvertement les autorités de la cité de passivité. Pour nos interlocuteurs, les « constructeurs », ne possédant ni permis de construire ni une quelconque autorisation délivrée par l’autorité compétente, s’installent en toute impunité au niveau de l’ancienne placette des martyres et des cités Chaâb, Fard et Habas (à côté de la mosquée Ibn Badis). Même l’environnement du lycée est, disent-ils, squatté. « Les gens qui bâtissent à la hâte ont profité de la campagne inhérente au projet de la réconciliation initiée par le président de la République pour monter leur maison. Cette manière de faire met les autorités devant le fait accompli. Il faut aussi noter que des décisions de justice sont tombées, mais point de démolition de ces bâtisses qui massacrent le look de la ville, déjà mal en point », soulignent les citoyens qui pointent un doigt accusateur vers le maire qui ferme les yeux, car certains proches du responsable précité sont, disent-ils, concernés par ledit problème. Contacté par nos soins et pour connaître sa version des faits, le P/APC relativise, attribue des circonstances atténuantes aux mis en cause, pose en outre le problème juridique de l’assiette foncière qui ne trouve, d’après lui, toujours pas l’épilogue souhaité. « L’absence de programmes de logements sociaux ou participatifs ne laisse d’autres perspectives aux gens concernés qui vivent à l’étroit que de construire sans permis, nécessitant un dossier ne pouvant être fourni à cause de divers problèmes exposés au wali lors de sa dernière visite. Cela dit, la situation, qui n’est pas catastrophique comme le pensent certains, est prise en charge par le service de l’urbanisme de l’APC. Pour mettre définitivement un terme à ce problème qui risque, en perdurant, de porter préjudice à la ville disposant d’indéniables atouts touristiques, la question de l’assiette foncière doit au plus vite trouver une solution », conclut le maire de l’ex-Cuicul qui a, en août dernier, renoué avec son festival. En attendant une issue heureuse devant sauver la face de Djemila, n’ayant pas besoin d’un terrorisme d’un autre genre, l’illicite continue son petit bonhomme de chemin. Les autorités de la daïra et de la wilaya vont-ils se pencher sérieusement sur ce délicat dossier qui a été laissé des années durant dans des tiroirs ? Il convient de souligner que le foncier ayant été bloqué par l’ex-wali à tort ou à raison continue d’alimenter les chroniques et les commentaires des citoyens des quatre coins de la wilaya et dont de nombreux dossiers relatifs à des constructions individuelles, ou à des infrastructures d’utilité publique, sont toujours en suspend.

    Kamel Beniaiche

    « Si vous voulez affamer un peuple, étouffer son histoire (Toufik HEDNA) », La ville de Cuicul (Djemila) a accueillie dans son enceinte les grandes personalités de ce monde à savoir L’empereur Nerva, Saint Augustin, Ibn Batouta, Ibn Khaldoun... Sans parler des contemporains à savoir Le Corbusier ou autre.

    Et voila, par l’ignorance d’un être qui à besoin de construire un abri pour y vivre à peine un quart d’une génération, il met en cause des siècles d’un patrimoine, qui n’appartiens, désormais, plus à un secteur géographique local, mais MONDIAL.

    Les causes d’un tel débordement, sont diverses : 1. L’insouciance du pouvoir : local (Mairie et Daïra), régional (la Wilaya), et central le ministre et la politique générale du gouvernement. 2. L’absence ou pire La lâcheté de nos intellectuels, architecte, Urbanistes, et Conservateurs et spécialistes du patrimoine. 3. L’absence des valeurs, et d’une éducation de prise de conscience, ce que les civilisés appellent « le sens commun de la masse »

    Par de tels agissements nous ouvrons la porte à la destruction et à l’appauvrissement de notre culture.

    Merci à notre confrère Benaïche, d’avoir le courage au moins de dénoncer.

     

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  •           SETIF GUELMA, KHERRATA :

    Les massacres de Sétif, un certain 8 mai 1945

               MASSACRES DU 8 MAI 1945              

    clic...

                   Génocide et crime contre l’humanité

     

     

    Incrusté dans la mémoire collective nationale, le mois de mai reste toujours le jalon le plus distinctif et le plus expressif dans l’itinéraire douloureux de notre peuple dans sa dynamique de combat et de lutte pour le recouvrement de sa souveraineté.

    Soixante et une années après, le mois du muguet rime toujours avec le mois de Guelma, Sétif, Kherrata..., le mois des massacres de 45.000 civils innocents, cette évocation macabre qui est intimement liée à la définition de l’acte sanglant qui n’est autre qu’un génocide, un crime contre l’humanité, perpétré par le colonialisme français au mépris de toute considération pour les valeurs humaines universelles.

    A la même heure où fut signé l’armistice enterrant le totalitarisme nazi et fasciste, des balles meurtrières crépitaient dans nos villes pour abattre des manifestants dans des marches pacifiques, donnant ainsi le feu vert à la soldatesque coloniale, soutenue par des milices de colons européens, de commettre l’horrible carnage dans une « chasse à l’arabe » qui embrase nos régions, où on tira à vue. Les sinistres Achiary et Lestrade-Carbonnel avaient invité les Européens à participer aux massacres : « Messieurs les colons ! Vengez-vous ! ».

    Un journaliste américain écrira : « It was an open season », pour dire la chasse à volonté. Les milices exécutaient par groupes de 20 ou 30 personnes. Avant la fusillade, les victimes devaient creuser leurs tombes. Les prisonniers sont transportés en dehors de la ville, à Kef El-Boumba, près d’Héliopolis, où ils sont abattus en chaîne. Des corps arrosés d’essence sont brûlés sur la place publique ou dans les fours à chaux. Des groupes entiers de prisonniers, enchaînés et alignés, sont écrasés par les roues de chars, des nourrissons sont pris par les pieds pour être projetés contre les rochers. Les blindés et l’artillerie, aidés par l’aviation, pilonnent toutes les « zones de dissidence ». L’horreur avait atteint son comble.

    C’est pour ces hommes, femmes et enfants qui sont au coeur de la mémoire collective nationale, que se commémorent leur marche du 8 mai 1945, leurs souffrances, leurs martyrs. Leur emblème lors de cette marche, que le sinistre Achiary avait cru piétiner et déchirer, est toujours là, flottant fièrement entre les mains d’un jeune scout éclaireur de la marche rituelle, suivi par une population attachée dans son recueillement à la dignité, à la reconnaissance et à la gratitude sous le slogan « pour que nul n’oublie ».

    Maître Jacques Vergès, avocat français, invité comme conférencier au 4ème Colloque international sur les massacres du 8 mai 1945 organisé à l’université de Guelma, dira en substance à l’adresse des Algériens : « Comprenez que cette liberté pour laquelle vous vous êtes battus avec héroïsme en Italie, en France et en Allemagne ne vaut que pour les Européens. Le scandale est dans les statistiques, où l’on recense plus de morts algériens pour la France au cours de la Seconde Guerre mondiale que des résistants français recensés au cours de la même période ».

    « Il y a lieu de s’enrichir de l’expérience du passé, fût-elle celle du malheur. Ne jamais oublier que les victimes du 8 mai 1945 furent traitées de nazis et leurs assassins glorifiés comme des démocrates. Rappelez-vous qu’après le 8 mai 1945, le sort de l’Algérie ne s’est pas réglé dans les « débats gauche-droite » au Parlement français. Il a été scellé le 1er Novembre 1954". « Le crime du 8 mai 1945 est imprescriptible.

    Il n’a pas été amnistié puisqu’il n’a pas été reconnu. Un procès est donc toujours possible, soit devant une cour algérienne, soit devant la Cour pénale internationale.

    L’avocat finit dans sa conclusion : « Mais la France, non pas celle qui ordonne de glorifier le colonialisme dans les manuels scolaires, mais celle du discours de Pnom-Penh, celle qui a refusé l’agression contre l’Irak, celle qui a reconnu sa responsabilité envers les juifs livrés aux nazis, cette France-là s’honorerait en reconnaissant sa responsabilité dans les massacres du 8 mai 1945 et sa dette envers le peuple algérien ».

    La marche, reconstituée chaque 8 mai à seize heures, sera toujours là pour convoquer le colonialisme qui sue encore le crime, à comparaître devant le tribunal de l’histoire et subir devant le forum des hommes la confrontation avec les voix audibles du silence des victimes. Tant qu’il y aurait des hommes, le livre demeurerait ouvert.

     

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  •                                                    LE COUT DE LA GUERRE EN IRAK !         

                                                                      C est ca! 1millard par an!

     

      http://costofwar.com/

     
     

    un salaud comdamne par la cour martiale.. 1 parmi des centaines.

    Etats-Unis

    Perpétuité pour un soldat US

     

     
    Steven Green, 21 ans, lors d'une opération en Irak. Il a été inculpé le 4 juillet aux Etats-Unis de viol et de meurtre dans la même affaire.
    (Photo : AFP)
    Steven Green, 21 ans, lors d'une opération en Irak. Il a été inculpé le 4 juillet aux Etats-Unis de viol et de meurtre dans la même affaire. 

		(Photo : AFP)

    Suite à la comparution de huit soldats américains devant une cour martiale, l’un d’entre eux, James Barker, a été condamné jeudi soir à 90 ans de prison pour avoir participé au viol et au meurtre d’une jeune Irakienne âgée de 14 ans. Il s’agit de la peine la plus lourde jamais prononcée contre un soldat américain engagé en Irak. Trois autres hommes sont accusés d’avoir participé à l’assassinat de cette jeune fille et de sa famille. Et, dans le cadre d’une affaire distincte, les quatre soldats présentés le même jour devant la même cour martiale, risquent également la prison à perpétuité.

     

    Un viol, des tortures, des assassinats : depuis le début de la guerre en Irak, plusieurs scandales liés à des exactions sur des civils ont terni la réputation de l’armée américaine. James Barker, un des quatre soldats américains accusés du viol et du meurtre d’une jeune fille et de l’assassinat de membres de sa famille -le père, la mère, et la petite sœur de 5 ans- en mars dernier à Mahmoudiya (à 30 km au sud de Bagdad), a été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité avec la possibilité de remise en liberté conditionnelle. Cette condamnation est intervenue après deux jours d’audience devant une cour martiale de Fort Campbell (Kentucky).

    Le quadruple meurtre avait, dans un premier temps, été attribué à des milices irakiennes, avant qu’une autre version des faits n’apparaisse le 20 juin à l’occasion d’une opération militaire de «debriefing sur le stress au combat». En vertu d’un accord passé avec l’accusation, James Barker a négocié l’assurance de rester en vie : il a plaidé coupable et témoigné contre ses coaccusés pour échapper à la peine de mort. En revanche, les deux autres soldats membres de la même 101e division aéroportée ainsi qu’un ancien militaire, qui ont comparu tous les trois le même jour que James Barker, risquent la peine de mort. Il s’agit du sergent Paul Cortez, qui a refusé de plaider et du soldat première classe Jesse Spielman, qui devrait être inculpé en décembre.

    Le meneur présumé des soldats impliqués dans cette affaire, l’ancien soldat Steven Green, 21 ans, qui a été inculpé le 4 juillet dernier, a été présenté la semaine dernière devant un juge fédéral de Louisville dans l'Etat du Kentucky. L’armée l’avait renvoyé pour «troubles psychologiques» avant même la révélation de l’affaire. Il a plaidé non coupable devant un tribunal fédéral qui le poursuit notamment pour «meurtre et agression sexuelle». Le parquet doit décider s’il requiert la peine de mort contre lui.

    Cette condamnation est le dernier épisode d’une longue série de scandales. Quatre soldats, impliqués dans l’assassinat de prisonniers irakiens lors d’un raid contre des militants d’al Qaïda près de Samarra (nord de Bagdad) en mai dernier, ont commencé à comparaître devant la même cour martiale du Kentucky. Ils risquent également la perpétuité.

    La sanction la plus lourde prononcée jusqu’à présent

    Ces exactions s’ajoutent à liste de toutes celles qui ont nourri la colère des Irakiens contre le comportement de certains soldats du contingent américain. Plusieurs Marines sont soupçonnés d’avoir tué de sang froid au moins 24 civils. Mercredi dernier, un Marine de 20 ans, qui avait lui aussi plaidé coupable à la suite d’un accord avec l’accusation, a été condamné à 18 mois de prison ferme pour le meurtre d’un civil irakien le 26 avril dernier à Hamdania, au nord de Bagdad. Une affaire pour laquelle huit militaires au total ont été inculpés en juin. Par ailleurs, six Marines sont accusés d’avoir agressé des civils irakiens dans la même ville quinze jours plus tôt et devraient être jugés prochainement.

    Les exécutions militaires sont rares. La condamnation à perpétuité avec possibilité de réduction de peine en appel constitue la sanction la plus lourde prononcée jusqu’à présent contre un soldat américain depuis le début de la guerre en Irak. Faut-il y voir, de la part de la justice américaine, une volonté d’envoyer un message ferme aux troupes sur le sol irakien ? Toujours est-il que le président George W. Bush vient d'être confronté aux électeurs américains, lesquels ont clairement exprimé le souhait d’un changement de cap politique au Moyen-Orient.


         

                                      


     


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