• 11 SEPTEMBRE : LE SACRIFICE
    Anomalie d' un délit d'initié

    Cela ne leur vient même pas à l’idée que si certains pensent à un complot,
    c’est peut-être parce qu’on peut légitimement y penser ...

    "Dis-nous quand ces choses arriveront, et quel sera le signe de ton avènement et de la fin du monde." Matthieu 24:3


    Ce jour-là, les États-Unis subissent une attaque terroriste d'envergure. Quatre avions de ligne sont détournés simultanément, dans la matinée, par des commandos composés en tout de dix-neuf terroristes. Il n'y a eu de survivant dans aucun des avions détournés.

    - Le vol 11 American Airlines, un Boeing 767-223ER s'est précipité dans le côté nord de la Tour Nord du World Trade Center (WTC) à 8 h 46 min 40 s (heure locale).

    - Le vol 175 United Airlines, un Boeing 767-222 se précipite dans la tour Sud à 9 h 3 min 11 s (heure locale). Cet événement a pu être couvert par les télédiffuseurs qui avaient leurs appareils-photo et vidéo braqués sur la tour Nord.

    - Le vol 77 American Airlines, un Boeing 757-223, se précipite sur le Pentagone à 9 h 37 min 46 s (heure locale).

    - Le quatrième avion détourné, le vol 93 United Airlines, un Boeing 757-222, s'écrase dans un champ suite à l'intervention des passagers contre le commando terroriste, près de Shanksville et Stonycreek Township, dans le comté de Somerset, en Pennsylvanie, à 10 h 3 min 11 s (heure locale). Des pièces et des débris seront trouvés jusqu'à huit miles (environ 12,9 km) de distance. On imagine que sa cible était à Washington, peut-être la Maison Blanche. Les enregistrements de la boîte noire auraient rapporté que l'équipage et les passagers ont essayé de s'emparer de la commande de pilotage de la main des pirates de l'air, qui ont alors basculé l'avion dans une tentative vaine de soumettre les passagers.


    Les pertes humaines sont lourdes : 265 personnes dans les avions, 2 650 personnes au World Trade Center (dont 343 pompiers venus en secours) et 125 au Pentagone. Le 23 janvier 2004, la ville de New York fait état d'un bilan final de 2 749 personnes mortes ou portées disparues.

    Peu d'événements terroristes auront reçu pareille couverture médiatique (même si l'on pense aux otages israéliens des jeux Olympiques de Münich). Le lieu (une des villes les plus connues au monde et siège de nombreuses agences de presse et de télévision), la séquence des événements (les journalistes se sont immédiatement précipités sur les lieux dès le premier avion) ont mené à une médiatisation considérable et à l'observation en direct du crash du second avion, puis de l'effondrement des tours.

    Pendant une demi-journée, toute l'attention de centaines de millions de gens a été tournée vers le nord-est des États-Unis.
    Les attentats du 11 septembre constituent un " coup terrible " pour les États-unis. Après des décennies où le peuple américain s'est essentiellement considéré comme protègé du terrorisme mondial ( même si certains attentats ont touché le pays, ils étaient rares).

    Les attentats ont été dénoncés par les médias et le gouvernement comme une agression externe et venant du Moyen-Orient, région riche en pétrole, ressource dont les États-Unis, est fortement dépendante.


    Certains commentateurs ont comparé cet événement à l'attaque de Pearl Harbor par les Japonais le 7 décembre 1941. La comparaison est fortement validée par ce sentiment lui-même, même si la différence entre l'agression militaire par une nation et l'attentat commis par des terroristes. Certains ont comparé ces deux événements, car pour tous deux, rien n'a été fait pour éviter la tragédie. Le lendemain des attentats, le conseil de sécurité de l'ONU adopte la résolution 1368, proposée par la France, condamnant ces actes terroristes.


    ANOMALIES D'UN DELIT D'INITIE ?

    Certains observateurs, dont une partie des familles des victimes ont fait remarquer quelques incohérences dans la version officielle et ont fourni une explication différente de cette journée, qui serait, selon eux, un complot du gouvernement américain. Un délit d'initié a été suspecté après l'effondrement des tours, le cours des actions de certaines sociétés s'est en effet effondré la semaine précédant l'attentat, dont en premier lieu les actions de la banque Morgan Stanley qui occupait plusieurs étages du World Trade Center.


    Il est plausible que des mouvements financiers dus à un petit nombre d'initiés ( banques islamistes proches d'Al-Qaïda, où de Bush; par exemple ) aient provoqué, par effet d'entraînement, une rumeur défavorable apte à provoquer ces baisses de cours.

    Des informations du FBI ne sont pas remontées jusqu'à la CIA et inversement. Le 11 septembre n'aurait certainement pas été celui que l'on connait si toutes les informations des services secrets avaient été traitées sérieusement.

    Différents éléments d'enquête ont systématiquement été bloqués par le gouvernement américain, comme le rapport de la « Commission sur le 11 septembre » du Congrès qui a été expurgé de 31 pages, à la demande du George Walker Bush. Cela n'est aucunement une preuve de l'implication du gouvernement américain dans les atentats.

    L'organisation des sapeurs-pompiers de New York (FDNY) a également été mise en défaut : Des sapeurs-pompiers sont montés dans les tours jumelles sans ordre de leur hiérarchie, les communications radio ne passaient pas dans les bâtiments en raison de la structure métallique et les personnels engagés n'ont pas reçu l'ordre d'évacuation.


    Dans son livre La face cachée du 11 septembre, Eric Laurent, un inlassable détracteur des Bush depuis la guerre du golfe de 1991, met en exergue les délits d'initiés entourant les attentats. En effet, un achat anormalement élevé de "put option" a été constaté sur plusieurs entités liées aux attentats dont en premier lieu les actions de la banque Morgan Stanley qui occupait plusieurs étages du World Trade Center. Il est plausible que des mouvements financiers dus à un petit nombre d'initiés (banques islamistes proches d'Al-Qaïda) aient provoqué, par effet d'entraînement, une rumeur défavorable apte à provoquer ces baisses de cours. Il a été possible d'établir que la majeure partie des transactions avait été "portée" par la Deutsche Bank et sa filiale américaine d'investissements, Alex. Brown. Des ventes sur les compagnies d'assurances Axa Re et Munich Re, qui assuraient le complexe, ont également été faites dans les jours précèdant le 11 septembre.

    Une quantité importante de « put » (actions à effet de levier ou options), 4 744 exactement, a également été placée sur la compagnie United Airlines au « Chicago Board Options Exchange » les 6 et 7 septembre, ainsi que 4 516 puts sur American Airlines, les deux seules compagnies dont les avions ont été détournés. Les ordinateurs servant à ces transactions se trouvaient dans les tours du World Trade Center, et les boîtes noires des enregistrements de ces ordinateurs auraient été dissimulées au public.

    Suite à l'enquête menées conjointement par le FBI, le Ministère de la Justice, et la SEC (Securities and Exchange Commission), le gendarme de la bourse, Ed Cogswell, porte parole du FBI, annonça le jeudi 19 septembre 2003 dans un bref communiqué qu'il n'existait "absolument aucune preuve" que les spéculateurs s'étant livrés à ces transactions aient eu connaissance de la préparation des attentats.

    Allen Poteshman, un professeur de finance à l'Université de l'Illinois, a publié un papier démontrant que les délits d'initiés sur les actions de United et d'American Airlines indiquent que certains ont profité de la connaissance préalable des attentats. Poteshman conclue, « Il y a à l'évidence une activité inhabituelle sur le marché des actions dans les jours précédant le 11 septembre ».

    Quant à la commission d'enquête officielle, elle a rejeté dans son rapport les allégations de délits d'initiés ...


    INDICES EN FAVEUR D'UNE CONNAISSANCE PREALABLE 

    - En juin 2001, deux services de renseignements allemands (BND) préviennent les Américains en disant : « Des terroristes du Moyen-Orient ont l'intention d'utiliser des avions commerciaux pour attaquer des bâtiments symbolisant la puissance économique, militaire et politique de l'Amérique. » (The Washington Post, 14 septembre 2001)

    - Le 26 juillet 2001, CBS NEWS annonce que le ministre de la Justice, John Ashcroft a arrêté de voler sur des lignes aériennes commerciales du fait d'une ré-évaluation des menaces contre les vols commerciaux. Ashcroft déclare à la presse qu'il n'a aucune idée de ce qui a causé cette ré-évaluation. Plus tard, des fonctionnaires du département de la Justice témoigneront que « le Ministre avait été prévenu d'attentats avec des avions de ligne » (CBS, 26 juillet 2001 ; Associated Press, 16 mai 2002).

    - Du 4 au 30 août 2001, le président Bush passe ses vacances dans son ranch du Texas, à Crawford. En permanence, des F-15 et des F-16 sont en l'air pour surveiller son domaine. C'est la première fois que quelque chose de ce genre se produit (CounterPunch, 18 septembre 2002).

    - Le 6 août, le président Bush prend connaissance d'une note intitulée « Bin Laden Determined to strike in US » (Document déclassifié, 10 avril 2004).

    - Le 10 septembre, selon Newsweek, plusieurs hauts fonctionnaires du Pentagone ont soudain annulé leur voyage prévu pour le matin suivant, apparemment par souci de sécurité (Newsweek, 24 septembre 2001).

    - Bush passe la nuit du 10 au 11 septembre à Sarasota, en Floride. Sur le toit plat d'un bâtiment annexe, des missiles sol-air sont installés et des militaires les accompagnent. Selon un journal, jamais on n'avait vu cela auparavant (Sarasota Herald-Tribune, 10 septembre 2002).


    SECOUSSES SYSMIQUES

    Les sismologues ont dû se rendre à une évidence majeure; les deux tours jumelles ont été littéralement soufflées comme par dynamitage, à leur base en synchronicité avec leur effondrement soit disant causé par la dislocation des structures d'acier affaiblies par les feux de kérosène. C'est en partie vrai mais seulement en partie. Au cours de la première phase de cet effondrement, l'onde de choc provoquant un micro séisme de magnitude 2.2 à 2.3 a précédé de 3 à 4 secondes l'impact des premiers débris au sol.


    Des pointes sismiques de 2,1 et 2,3 ont respectivement été enregistrées par l'Université Columbia lorsque la Tour nord et sud ont commencé à s'effondrer. Ces secousses, qui avaient comme épicentre le sous-sol des Tours jumelles, étaient brèves mais violentes, et facilement attribuables à des explosions à la base des tours, suffisamment puissantes pour avoir affaibli d'un seul coup la structure de base des édifices et provoqué leur effondrement.

    Il est à noter que dans la technique de démolition contrôlée par implosion, l'étape de la destruction de la structure de base d'un édifice est nécessaire pour entraîner la structure verticale à s'effondrer sur elle-même, une fois que le centre de l'édifice a été affaibli. Si de la thermite ou des explosifs avaient déjà été utilisés sur les "noyaux" traversant le centre de chaque tour, il ne manquait qu'une puissante explosion à la base pour déclencher l'effondrement.

    Phénomène étrange, au niveau -7, à l'endroit où la structure d'acier était ancrée au rocher, des points de combustion sont restés actifs pendant plusieurs jours avec des pics de température s'élevant jusqu'à 1535° C. Ce qui est théoriqument impossible !


    Des vues prises par hélicoptère montrent distinctement une élévation au-dessus du sol, puis une oscillation provoquant leur enfoncement à plus de 20 mètres en dessous du niveau du sol. De plus, la signature sismique sur les écrans des enregistreurs de la première onde de choc est supérieure à la plus importante enregistrée pendant et après l'impact des débris au sol dont la taille multi fragmentée ne pouvait en être l'origine.

    Les ondes basse-fréquences étaient anormalement riches en comparaison de celles générées en haute-fréquences. Ce point nous oblige à prendre on compte la technologie du système H.A.A.R.P. installé en Alaska. Le 17 Janvier 2001, des ondes sismiques avaient été enregistrées sur Manhattan et souvenons nous que les tremblements de terre majeurs qui avaient frappé Los Angeles en 1994 et Kobé en 1995 avaient eu lieu pour chacun d'eux un 17 Janvier, dans la même demi-heure.

    L'effondrement des tours a également donné lieu à diverses spéculations. Différents groupes pensent aussi que les tours jumelles du World Trade Center, ainsi que la tour n°7 auraient volontairement subi une destruction contrôlée à l'aide de charges explosives placées à l'avance dans les tours par le gouvernement américain. Pour certains, aucun effondrement vertical de tour n'a eu lieu sans explosion contrôlée dans l'histoire de l'architecture ; or il y a eu un tel effondrement pour les deux tours jumelles (comparaisons de démolitions contrôlées et non contrôlées) et pour la tour 7 du complexe quelques heures plus tard (video). Et ce dernier bâtiment n'avait été touchés par aucun avion, son écroulement parait donc d'autant plus suspect. La version officielle veut que l'écroulement soit dû à un incendie (qui aurait été allumés par des parties des deux tours du WTC en feu tombant sur l'immeuble) alimenté pendant plusieurs heures par des réserves de fioul. Mais les conspirationnistes affirment qu'il est impossible qu'un immeuble s'écroule entièrement suite à un incendie, et citent comme preuve des incendies précédents, comme celui de la tour de Madrid. De plus le rapport de la FEMA serait une "blague".

    Selon une étude réalisé en 1964 lors de l'élaboration des plans du WTC, le crash d'un boeing 707 volant à 600 mph (963km/h) n'aurait pas causé son effondremement. Les caractéristiques de cet avion seraient quasiment identiques, pour ces conspirationistes, à celles des avions detournés, il est à noter que lors du procès concernant le 1er attentat contre le WTC en 1993, des experts avaient annoncé que les tours ne resisteraient pas un B.767 (le type d'avion utilisé)[voir la revue "Air & Cosmos" d'Octobre 2001. Des questions importantes auraient été ignorées par les médias, par exemple, la température n'aurait pas été suffisante pour que la fragilisation des structures metalliques provoquent l'ecroullement. De plus, des survivants, ainsi que des pompiers, auraient entendus des bombes exploser à l'interieur du WTC. En résumé, le WTC aurait été miné d'explosifs à des endroits stratégiques, explosions qui seraient detectables sur les vidéos et les images disponibles par les spécialistes en démolitions et experts des armées.

    Mais comme les Twins tower n'étaient plus entretenues depuis un bon moment, surtout au niveau de la protection incendie, les tours se sont peut-être simplement écroulées plaque par plaque, étage par étage les uns sur les autres, comme l'indique la version officiel.


    MISE HORS TENSION DES TOURS ?

    Scott Forbes, un employé-cadre de la firme Fiduciary Trust, située aux 90e, 91e et 94e étages de la Tour sud a rendu un témoignage[20] sur quelques sites d'information alternatifs concernant la mise hors-tension d'au moins la moitié de la Tour sud du WTC durant la fin de semaine précédant le 11 septembre, et en plus de l'intervention d'une multitude de techniciens dans l'édifice.

    Cette opération, qui avait soi-disant pour but de mettre à jour le système de câblage réseau sur une bonne partie de l'édifice, a nécessicité la coupure du courant électrique durant 30 heures, et cela incluant la mise hors-tension de tout le système de sécurité et de surveillance par caméra de la Tour sud. Alors qu'il travaillait à remettre le réseau informatique de la compagnie en marche le dimanche 9 septembre, Forbes a noté une grande activité dans l'édifice, sur différents étages, alors que plusieurs équipes de techniciens entraient et sortaient aléatoirement, et ce alors que les caméras de sécurité étaient non-fonctionnelles et sans aucune vérification électronique de sécurité pour les personnes qui entraient et sortaient.

    Cet indice donne du poids à la théorie voulant que les Tours jumelles auraient été préalablement truffées d'explosifs ou de thermite lors d'une opération secrète sous la couverture des autorités, rendant ainsi possible la destruction complète des édifices lorsqu'ils seraient frappés par les avions, moins de deux jours plus tard.


    DES AVIONS MODIFIES ?

    Comme on peut le penser sur ces photos du deuxième avions, il y a un réservoir supplémentaire sur le 767. Est-ce réellement un réservoir de carburant supplémentaire rempli d'essence, pour créer un feu gigantesque? De tels réservoirs peuvent être vus sur beaucoup d'avions militaires, mais n'ont été jamais vus sur un Boeing 767. De plus, sur des vidéos nous pouvons distinctement voir un éclair avant l'impact de l'avion sur la tour! Sur une autre image, nous voyons une boule de feu devant le nez de l'avion avant l'impact. L'avion aurait tiré un missile avant de percuter la tour afin de mieux la transpercer.



    Les Boeing 767 et 757 sont les seuls à avoir été conçus par Boing pour être totalement contrôlables à distance en mode d'urgence sans intervention humaine depuis le décollage jusqu'à l'atterrissage.


    ANOMALIE DES BOITES NOIRES

    Il semble qu’aucune des huit boites noires des quatre appareils impliqués dans les événements du 11 septembre n’aient pu livrer d’informations, y compris celles équipant l'appareil qui est censé s'être écrasé en Pennsylvanie. Ces boites sont conçues pour fournir des informations sur les circonstances des accidents aériens. Elles enregistrent les conversations de l'équipage, les paramètres de vol, les bruits dans le cockpit. Les bruits ne sont pas anodins, ils traduisent en fait le déroulement de nombreuses manœuvres, par exemple la sonnerie de signaux avertisseurs, le bruit de la descente du train, etc. « De nombreuses conclusions peuvent être tirées à partir de l'analyse de ce type de bande sonore. Ces boites noires enregistrent en outre vingt huit paramètres importants dont le temps, l'altitude, la vitesse, le cap, l'altitude de l'appareil. Elles enregistrent également trois cent signaux donnant des renseignements sur l'état de différents éléments de l'appareil : état des volets hypersustentateurs, celui du pilote automatique, du signal d'alarme-incendie, etc. Les avions sont équipés de deux boites noires indépendantes, l'une d'elles étant disposée à l'arrière des appareils, partie qui subit en général le moins de dommages en cas de crash. Ces boites fournissent tous les renseignements nécessaires pour établir les circonstances qui ont précédé l'accident. Les spécifications sont les suivantes : Tolérance à l'impact : 3400 G / Résistance au feu : 1100 ° C pendant 30 minutes.

    L'unité de stockage en mémoire (CSMU) est pratiquement indestructible. Elle est enfermée dans une coque en acier et protégée du feu par une enveloppe isolante, en matériau réfractaire. Ce composant peut résister à 2000° Fahrenheit pendant une heure, à une immersion pendant un mois, ainsi qu'à de nombreux fluides agressifs.

    Concernant l’analyse de la boite noire issue du crash sur la Pensylvanie, les autorités admirent sans sourciller « que l'enregistrement des voix des pilotes avait été trop endommagé pour être exploitable », l'appareil ayant heurté le sol à plus de 900 kilomètres heure (source ABC News). Encore plus étrange, la disparition des quatre boites noires des appareils lancés sur les Twin Towers, alors que le passeport de Mohamed Atta fut retrouvé à peu de distance, intact. La tolérance à l’impact d’un passeport cartonné serait-elle supérieure à 3400 G et sa résistance au feu supérieure à 1100 degrés Celsius ?


    LE HASARD DES TOURS JUMELLES ET LE 11

    La date de l'attaque : 11/9: 9 + 1 + 1 = 11
    Aux USA, on note la date sous la forme mois/jour, ce qui donne 9/11, ou 911, pour le numéro des urgences aux Etats Unis.
    C'est un 11 Septembre (1990) que Bush senior a employé le terme "Nouvel Ordre Mondial" lors du 666e amendement de l'ONU, quelques mois avant la guerre du Golfe contre l'Irak.
    Le 11 septembre est le 254ème jour de l'année: 2 + 5 + 4 = 11, et après le 11 septembre il reste 111 jours d'ici la fin de l'année.
    119 est le code régional de Iraq/Iran. 1 + 1 + 9 = 11
    Les Twin Towers - debout côte à côte font un 11.
    2 témoins prophétisent pendant 1260 jours, auteurs de fléaux pour fair entendre la Parole de Dieu (Apocalypse chapitre 11).
    Le premier avion qui a frappé une tour est le vol 11
    L'état de New York est le 11ème état à joindre l'Union.
    New York City - 11 Lettres / Afghanistan - 11 Lettres / The Pentagon - 11 Lettres
    Ramzi Yousef - 11 Lettres (celui qui a attaqué le World Trade Center en 1993)
    Vol 11 - 92 à bord - 9 + 2 = 11 / Vol 77 - 65 à bord - 6 + 5 = 11
    Le vol 93 United Air Lines avait à bord 38 passagers et 7 membres d'équipage: 38, 3 + 8 = 11
    Le vol 175 avait à son bord 56 passagers et 9 membres de l'équipage: 56+9 = 65, 6 + 5 = 11
    Les deux avions comptaient au total 110 passagers (11-0)
    Chacune des tours comptaient 110 étages (11-0)
    L'avion présidentielles Air Force One était une autre cible visée : Air Force One = 11 lettres - George W Bush = 11 lettres
    La seconde guerre mondiale a débuté exactement le 11 septembre
    La loterie de New York a connu un tirage symbolique le jour anniversaire des attentats du 11 septembre (11/9), avec les numéros gagnants 1-1-9. " Il s'agissait d'un tirage au hasard comme tous les jours, les chances de voir ces numéros sortir étaient de 1.000 contre un. La loterie aussi était truquée ?

    Les 1776 pieds de la future " Freedom tower " ou " tour de la liberté " intégrée dans le nouveau complexe qui devrait être achevé en 2008 sur l'emplacement du Ground zéro (WTC) seront rehaussés d'un bras haut de 276 pieds tenant une torche, celui de la statue de la liberté. Cette " Freedom tower ", future tour de Babel ( Genèse 11/9 ) sera alors la plus haute tour du monde, éclipsant ainsi celle de Taiwan, haute de 1667 pieds.


    LE SECRET DU PENTAGONE

    A 9h38, le vol américan airlines 77, un boing 757 pesant 80 tonnes s'écrase sur le Pentagone. En réalité, on a jamais retrouvé de boieng 747. Quelques minutes plus tard, nous voyons les pompiers s'activant pour éteindre l'incendie. Il y a un trou dans le pentagone mais aucun avion. De nombreux témoignages décrivent " quelque chose comme un missile " ou un " petit jet " mais pas un avion de ligne. Quelque chose de vraiment troublant est que les ailes ne sont pas à l'extèrieur du bâtiment, au vue de la taille du trou. Elles se seraient " déchirées ". Mais aucun débrits devant le pentagone.


    Il n'existe aucun crash d'avions sans débrits, c'est le seul crash aérien au monde où il n'y a aucun débrits! De plus, un avion qui se crash abîme le sol. Des témoins croient que l'avion a d'abord percuté le sol au pied du pentagone, avant de glisser dans le bâtiment. Aucune traces sur la pelouse devant le bâtiment.


    Le Boeing 757 a une envergure de 38 m ( soit 2 à 3 fois la zone ), une hauteur de 13 m à la queue ( la moitié de la hauteur de la façade ), le tube a une dimension de env. 3.50 m, et sa longueur est de 47 m. Le point haut du tube avec le train sorti est à 6,50 m, sans le train env. à 4 m.

    A New York, autour des tours on a retrouvé quantité de piéces, moteur, roue etc. projetées au moment des impacts, ici rien de cela! Sur une simulation, nous constatons alors qu'il est techniquement impossible qu'un boeing 757 puisse avoir touché le bâtiment.


    Le pentagone est composé de 5 anneaux concentriques, ceux ci divisés en 5 blocs. L'impact s'est produit sur le bloc 1 qui était en rénovation, les travaux devaient s'achever quelques jours plus tard... Selon l'armée, l'avion aurait transpercé 3 blocs avant de terminer sa course dans un passage de service (entre 2 blocs donc). Mais sur les photos aérienne les blocs ne sont pas en si mauvais état que cela. A l'intèrieur du bâtiment, pas d'avions non plus. Selon les journalistes et les pompiers il n'y pas d'avions dans le pentagone. La version dite " officielle " indiquerait que l'avion s'est introduit dans le bâtiment et s'est consumé entièrement (a disparu) avec la chaleur : soit une zone de la hauteur du rez-de-chaussée et sur une largeur de 15 à 20 m. (si l'on fait l'impasse des potaux restés en place). Des petites pieces seront retrouvées sur la pelouse devant l'impact.



    Une caméra de sécurité du pentagone a filmé l'impact avec des images prises à une seconde d'intervalle, la première photo a saisie une image de l'appareil. Rien de bien concluant si ce n'est que cet appareil ( qui semble bien petit quand même ) se trouve environ à 6 mètres du sol. Voila donc des pirates ne sachant presque pas faire fonctionner un avion, voler avec un 757 à plus de 850 km/h à 6 mètres du sol, et cela sans aucun signalement de souffle de réacteurs ni de turbulences de la part des riverains ou passants!


    D'autres caméras ont filmé l'attaque du pentagone. le toit de l'hôtel " Sheraton " en a une qui filme 24h/24h. Les employés de l'hotel ont regardé plusieurs fois la vidéo, choqués et horifiés, avant que le FBI ne la confisqu. Cette vidéo n'a jamais été rendue publique.


    Il y a aussi une caméra dans une station service entre le pentagone et le flanc de la colline et son responsable affirme être suffisamment proche du pentagone pour avoir enregistré le moment de l'impact, mais le FBI était sur place quelques minutes après le crash et a confisqué le film. Le département des transports de Virginie possède des caméras qui auraient filmés l'appareil au dessus de l'autoroute 27, les bandes sont au FBI...


    EVACUATION DES SAOUDIENS ET LE CARYLE GROUP

    Le journal New York Times relate que «dans les jours qui ont suivi les attentats terroristes de New York et de Washington, l’Arabie Saoudite a supervisé l’évacuation d’urgence de 24 membres de la famille élargie d’Oussama Ben Laden hors du territoire des Etats-Unis».

    Jane Mayer affirme dans le New Yorker que d’après un fonctionnaire saoudien, les Ben Laden furent transportés par avion privé avec l’accord du FBI. Un appareil de la marque Lear, fourni par l’entreprise d’armement Raytheon, a été mis à disposition des saoudiens et a été autorisé à décoller de Tampa le 13 septembre, alors que l’intégralité des vols sur le territoire américain étaient suspendus. Mais les largesses de l’administration Bush furent également accordées à l’ensemble des membres ou des proches de la famille royale saoudienne, puisqu’au total ce furent 140 saoudiens qui purent quitter le sol des Etats-Unis sans même subir le moindre interrogatoire de la part du FBI ou d’une autre agence, une exfiltration choquante qui fut amplement dénoncée par le réalisateur-écrivain Mickael Moore dans ses œuvres (Tous aux abris, 9/11 Fahrenheit). A la lumière des relations préexistantes entre la maison Bush et la maison Saoud, ce procédé s’explique parfaitement. La famille Bush entretenait depuis fort longtemps des relations privilégiées avec la famille Ben Laden. La première visite de Salem Ben Laden au Texas, fief des Bush, remonte à 1973. Il faut avoir en tête que les Ben Laden sont une des familles les plus riches d’Arabie. Leur entreprise de construction a édifié la majorité des infrastructures saoudiennes : gratte-ciels, routes, centrales électriques, télécommunications, etc. Ils possèdent d’innombrables parts dans les entreprises américaines, comme par exemple des parts de Microsoft et de Boeing, comme dévoilé dans le New Yorker du 28 octobre 2001. Ils ont fait don de 2 millions de dollars à l’université où Bush a fait ses études, de 300 000 dollars à l’université Tufts. Ils possèdent des propriétés et des terrains au Texas, en Floride et au Massachussets. Le Cheik Salim Ben Laden est un partenaire de George Bush junior, les deux hommes sont associés dans les sociétés Zappata Oil et Arbusto Ltd.

    En 2001, les Ben Laden étaient actionnaires du Carlyle Group, au même titre que la famille Bush, et pour l’anecdote, Shafiq Ben Laden était en train d’assister à un séminaire du groupe Carlyle à Washington le matin du 11 septembre (Riyad a dépensé plus de 170 milliards de dollars en matériel de défense pendant les années 1990, une grande partie des transactions ayant été assurées par le groupe Carlyle). Ce fonds d’investissements, créé en 1987, gère aujourd’hui un portefeuille de 12 milliards de dollars. Il détient des participations majoritaires dans Seven Up, Federal Data Corporation (qui a par exemple équipé la Federal Avion Administration de son système de surveillance du trafic aérien civil) et United Defense Industries Inc, le principal équipementier des armées américaines, turques et saoudiennes. Carlyle arrive au 11 ème rang des compagnies d’armement américaines. Les avoirs financiers du Saudi Binladen Group sont financés par le Carlyle Group. Dans un article paru dans le Monde, le 30 avril 2004, on apprend que John Major a travaillé et investi dans Carlyle, le plus grand investisseur privé au monde qui possède des participations dans près de 200 sociétés, un modèle unique construit à l'échelle planétaire sur le capitalisme de relations. Le groupe incarne aujourd'hui le complexe militaro-industriel contre lequel le président Eisenhower mettait en garde le peuple américain en quittant ses fonctions en 1961. La collection de personnages influents qui travaillent, ont travaillé ou investi dans le groupe ferait l'incrédulité des adeptes les plus convaincus de la théorie du complot. Sans énumérer l'aréopage complet délivré par le journal Le Monde, citons les noms des Bush, père et fils, du prince Saoudien Al-Walid, de Colin Powell, du milliardaire Georges Soros, du premier ministre de la Corée du sud Park Tae Joon, de Karl Otto Pöhl ancien président de la Bundesbank, de feu Henri Martre, président de l'Aérospatiale, sans omettre, bien sûr : la famille Ben Laden.

    Les Bush étendent également leur amitié et leur protectorat à la famille royale saoudienne. Pour l’anecdote, Bush père appelle le prince saoudien : Bandar Bush. L’épouse du prince a déclaré que les Bush étaient comme ses propres parents, nous apprend Robert Baer dans Sleepling with the Devil. C’est qu’avec deux mille milliards de dollars investis dans les marchés financiers et les banques américaines, l’argent saoudien irrigue profondément le système américain, et le système Bush au passage. Cela n’est-il pas fait pour conforter l’amitié ?


    BEN LADEN

    Oussama Ben Laden est une figure étrange et complexe qui, dès qu’on la regarde de plus près, échappe à la caricature qu’en ont systématiquement donné les américains depuis dix ans. Encore une fois, s’il est malaisé de deviner la vérité derrière le théâtre destiné au public, il n’est pas impossible de mettre à bas un certain nombre de contrevérités assénées par l’administration Bush devant la scène internationale. « Comment un type sous dialyse terré dans une grotte d’Afghanistan a-t-il pu diriger et superviser pendant deux ans les activités de dix neuf terroristes aux Etat-Unis, organiser aussi impeccablement le détournement de quatre avions ? » ironise Mickael Moore en mettant le doigt sur une des incongruités qui jalonnent l’histoire d’Oussama.

    Les Ben Laden appartiennent au clan des Hadramis installés dans la région d’Hadramut au Yémen. Son père a émigré en Arabie Saoudite puis construit le Saudi Bin Laden Group qui pèse plusieurs milliards de dollars. Comme donnée d’entrée, on peut admettre que lorsque la royauté saoudienne, gardienne des lieux saints de La Mecque et de Médine, exporte le wahhabisme, son interprétation de l’Islam, dans d’autres pays musulmans à l’aide de sa fortune pétrolière, Oussama participe de cette action de fond en jouant sur plusieurs registres. Ceci n’est guère récusable.

    En 1980, Oussama Ben Laden s’associe activement à la résistance afghane contre l’occupation soviétique, avec les moudjahiddins, les combattants de Dieu. Mais cette guerre est également la guerre des Etats-Unis contre l’empire soviétique. Les américains ont dépensé environ un milliard en armes et en matériel, et pour chaque dollar que la CIA a investi en Afghanistan pour déloger les soviétiques, l’Arabie Saoudite en a dépensé autant, écrit Ahmed Rachid dans un livre sur la montée des Talibans.

    Les bases américaines en territoire saoudien ont été construites en 1980 par des sociétés saoudiennes, dont celle du Bin Laden Group, pour la somme astronomique de 200 milliards de dollars. Les cris d’Oussama à propos du viol de la terre sacrée d’Arabie, font référence à des évènements qui, en réalité, l’ont enrichi.

    Richard Labevière, journaliste d’investigation de haute renommée en Suisse, a rapporté les preuves qu’Oussama avait été hospitalisé durant deux semaines en juin 2001 à l’hôpital américain de Dubaï, aux Emirats Arabes Unis, et soigné par le chirurgien Terry Callaway, histoire confirmée par plusieurs agences de presses. L’agent local de la CIA, Larry Mitchell, lui a rendu visite à cette occasion, une information reprise par de nombreux journaux, y compris Le Figaro du 31 octobre 2001 sous la plume d’Alexandra Richard. Oussama Ben Laden est-il réellement rejeté par l’ensemble de sa famille tel que l’administration américaine a voulu le présenter à la face du monde? Si oui, alors comment se fait-il qu’il ait reçu, durant son hospitalisation à Dubaï en 2001, la visite des membres de sa famille ainsi que des Saoudiens importants ? Comment intégrer le fait que pendant l’été 2001, à l’occasion du mariage du fils d’Oussama en Afghanistan, les Ben Laden se soient rendus à la noce que présidait Oussama, information diffusée par l’agence France Presse le premier mars 2001, Al Jazeera et le Washington Foreign Press Center ?

    En 2004, nous apprend le journaliste d’investigation Eric Laurent, le leader terroriste Ben Laden n’est en réalité ni recherché ni inculpé par les autorités américaines pour les attentats du 11 septembre, ni contre le croiseur USS Cole à Aden. John Aschcroft, ministre de la justice, dont dépend le FBI, n’a jamais donné l’ordre que l’on délivre un avis de recherche fédéral contre Ben Laden. Pour la justice et les agences chargées de l’enquête, Oussama n’est pas suspect dans le carnage du 11 septembre.

    Les experts considèrent que Ben Laden a été un activiste proaméricain en Asie centrale, entraîné et financé par la CIA. Cela ne fait guère de doute. La question est de savoir jusqu’à quand ? Un journaliste d’Emperor’s Clothes, Rick Rozoff, proclame tout haut ce que beaucoup de gens pensent tout bas : « Ben Laden est un agent opérationnel de la CIA et de l’ISI pakistanais. Ces organisations le soutiennent et soutiennent également Al Qaida. » Cet avis est partagé par l’Alliance du Nord afghane, et de nombreux pays ont également fait part de leurs doutes en évoquant cette possibilité, sur le mode hypothétique car l’affirmation n’est guère diplomatique et il n’est pas question de froisser les Etats-Unis.

    Lydon Larouche, ancien candidat à la présidence américaine, confirme cette opinion en affirmant que Ben Laden est une créature des services secrets américains.

    Le vice-président de la Commission des Affaires Etrangères de la Fédération de Russie, Michail Magrelov, n’est pas dupe non plus des accusations américaines, en disant que « quel que soit le rôle qu’ait joué Ben Laden ou différents pays, ils étaient au mieux la partie d’une structure qui a été planifiée et réalisée par une organisation non encore identifiée ».

    Ainsi Ben Laden n’est probablement pas un ennemi mais un agent des Etats Unis. Et il n’a probablement jamais rompu avec sa famille qui est un partenaire commercial essentiel de la famille Bush.


    LES SIMULATIONS MILITAIRES

    Plusieurs enquêteurs ont évoqué le fait que les nombreuses simulations militaires et les exercices de préparation à un désastre qui ont eu lieu le matin du 11 septembre 2001 ont pu servir de couverture aux véritables attaques. Parmi ces enquêteurs, on trouve la député Cynthia McKinney, l'économiste Michel Chossudovsky et Michael Ruppert, fondateur de From the Wilderness. Le matin du 11/9, les simulations militaires et les exercices suivants ont eu lieu sous le contrôle de l'US Air Force, NORAD, CIA, NRO, FAA et la FEMA :

    - L'opération Northern Vigilance, un exercice annuel de l'Air Force simulant une attaque russe, dans lequel les chasseurs de la défense aérienne qui patrouillent normalement au Nord-Est sont redéployés sur le Canada et l'Alaska.

    - Les opérations Vigilant Warrior et Vigilant Guardian, un exercice combiné (un attaquant et un défenseur) simulant des détournements d'avions et l'injection de faux signaux d'avions sur les radars.

    - L'opération Northern Guardian qui aurait affaibli la capacité de réponse de la base aérienne de Langley.

    - Un exercice du National Reconnaissance Office, prévu à 9 h, simulant le crash d'un petit avion d'affaires suite à un problème mécanique, sur l'un des quatre bâtiments de son quartier général. Cependant, selon une porte parole de l'agence, "l'exercice a été annulé dès que la vraie attaque a commencé".

    Avec au moins cinq scénarios de détournement d'avions se déroulant pendant ces exercices militaires, les radars de la NORAD et de la FAA auraient sans doute affiché un grand nombre d'avions détournés, ce qui aurait eu pour effet d'affaiblir et de retarder la réponse à une attaque réelle. La député McKinney a questionné le ministre de la Défense Donald Rumsfeld à deux reprises sur ces exercices militaires du 11 septembre, lors de son témoignage devant le Congrès.


    AMUSONS NOUS AVEC CE PETIT JEU

    C'est trop drôle! Comme si cela ne sufisait pas, les représentations en miroir que dévoile le pliage en symétrie de ces coupures de 5, 20 et 100 dollars US se passent de commentaires et et fait bien penser que tout a été planifié dans une mise en scène planétaire depuis fort longtemps. La nouvelle Babylone devait s'écrouler...


    "Dis-nous quand ces choses arriveront, et quel sera le signe de ton avènement et de la fin du monde." Matthieu 24:3


    DESINFORMATION

    Traditionnellement, la théorie du complot est l’une des obsessions majeures de l’extrême droite, comme le rappelle régulièrement la presse, notament en allemagne où un communiste dans d'autres pays. Dès qu'on parle d'un complot du 11/09 on est pas des démocrates. Cela ne leur vient même pas à l’idée que si certains pensent à un complot, c’est peut-être parce qu’on peut légitimement y penser...


    L’ancien général Colin Powell, chef de la diplomatie américaine sous le président George W. Bush de 2001 à début 2005, s’est distancé de son ancien discours sur les ADM, les armes de destruction de masse en Irak, discours prononcé en 2003 devant le Conseil de sécurité des Nations Unies... Colin Powell a qualifié ces déclarations de de douloureux souvenir, de "tache" sur sa réputation. C’est ce qu’ il a dit sur la chaîne de télévision CNN. Ses arguments, basés sur des informations erronées des services de renseignements, avaient servi à justifier l'invasion de l’Irak quelques semaines plus tard, mais aucune de ces armes n'a jamais été retrouvée…


    L'APOCALYPSE

    Comme il a avait été annoncé il y a bientôt 2000 ans dans le chapitre II de l'Apocalypse, le monde entier se réjouira à la vue de deux cadavres, ceux des deux témoins envoyés pendant 1260 jours par Dieu pour faire entendre Sa parole avant que les valeurs enseignées par la Bible ne s'effondrent définitivement sous le règne de la trinité Satanique.


    "C'est ici la sagesse. Que celui qui a de l'intelligence calcule le nombre de la bête.
    Car c'est un nombre d'homme, et son nombre est six cent soixante-six ".

    [ Apoc 13/18 ]

    UN PEARL HARBOR II

    Souvent comparé au raid des japonnais sur Pearl Harbor, les événements du 11 septembre 2001 pourraient très bien être un fantastique complot contre le monde :

    Historique : 1941, le Japon a signé l'accord tripartite avec l'Italie et l'Allemagne, se promettant une défense mutuelle les uns envers les autres. Alors qu'Hitler ne déclarera jamais la guerre aux Etats-Unis, quelle que fût la provocation, il en sera différent pour le Japon.

    Les Etats-Unis placèrent sous embargo le pétrole et l'acier destiné au Japon, en invoquant les actes de guerre du Japon sur les terres Asiatiques. Cela força le Japon à envisager de s’emparer du pétrole d’Indonésie. Avec les pouvoirs européens militairement épuisés par la guerre en Europe, les États-Unis étaient le seul pouvoir dans le Pacifique capable d'arrêter l’invasion des Indes orientales par le Japon. En déplaçant la flotte du Pacifique de San Diego à Pearl Harbor (Hawaï), Roosevelt avait positionné ses troupes de telle façon que toute volonté d’extension Japonaise soit impossible avant d'avoir nettoyé la zone.

    Le Japon devait envahir l'Indonésie pour le pétrole dont il avait besoin, et éliminer la menace de la flotte américaine à Pearl Harbor. Il n'y avait pas d'autres possibilités pour le japon !

    Le Président américain Franklin Delano Roosevelt avait besoin d'une guerre. 32éme président américain, il était grand maître des francs-maçons, membre du CFR, et avait des liens avec le comité des 300 et autres organisations secrètes. Il a eu besoin de la fièvre d'une guerre majeure pour masquer les symptômes d'une économie encore moribonde souffrant de la Grande Dépression. Roosevelt voulait une guerre avec l'Allemagne pour arrêter Hitler, mais ce dernier l’ignorait en dépit de plusieurs provocations dans l'Atlantique, et le peuple américain, luttant encore contre la crise économie, était opposé à toutes guerres. Roosevelt avait donc besoin d'un ennemi, et si l'Amérique ne pouvait pas attaquer cet ennemi volontairement, alors il devrait faire croire à une attaque contre l’Amérique.

    Roosevelt a eu besoin que la première attaque par le Japon soit aussi sanglante et meurtrière que possible. A partir de cet instant et jusqu'à l'attaque sur Pearl Harbor, Roosevelt et ses associés se sont assurés que les commandants à Hawaï, le Général Short et l’Amiral Kimmel, ont été gardés dans l’ignorance totale au sujet de l'emplacement de la flotte Japonaise et de ses intentions. Mais comme le conseil de l’armé avait conclu en son temps (et les documents déclassés l’ont confirmé), Washington savait qpertinament que l'attaque était imminente. Il avait aussi connaissance de la position exacte de la flotte Japonaise et sa destination.

    Le 29 novembre, le Secrétaire d'état Hull a montré au journaliste Joe Leib de United Press un message avec l’heure et le lieu de l'attaque, et les New York Times dans son édition spéciale datée du 12 août 1941, à la page 13, rapporte que l’heure et le lieu de l'attaque avaient été connus d’avance. Rien n'est prouvé ...






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